Le Magasin des Désirs du Coeur
ou
Divers Fragments d'un Journal en Miettes-10

7 mai 1999

Tout d'abord, je fais mes salutations aimables à tous les Apaquiens et toutes les Apaquiennes. (Note du Beaulieu contemporain: Et à tous les lecteurs et toutes les lectrices du contenu de ce blog également, bien entendu. Et c'est valable, comme introduction pour tous les épisodes de Le Magasin des Désirs du Coeur, présents, passés et à venir. ) Ces dernières semaines ont été plutôt fertiles en événements pour moi, mais toujours heureux, il faut bien le dire. Et certains de ces événements vont m'obliger, bien malgré moi, à une contribution bien courte où je ne pourrai pas répondre à tout le monde, comme c'est pourtant mon habitude, la plupart du temps. Je me reprendrai à la prochaine livraison. En effet, il y a trois semaines, comme certains de vous le savent déjà, j'ai eu la grande surprise d'apprendre que j'étais diabétique, et pas qu'un peu, probablement depuis assez longtemps. Je rapporte ici cette question surprise de mon médecin: "Mais comment donc fais-tu pour tenir debout? " Cette révélation a éclairé bien des choses sur mon récent passé en ce qui concerne ma santé apparente. Ceci étant dit, la bonne nouvelle c'est que nous avons bien réussi à faire redescendre rapidement et relativement facilement mon taux de sucre et mon poids durant ces dernières semaines. Mais il y en a eu une, de nouvelles, plus ennuyante: la chose s'est jetée dans mes yeux et mon seul bon oeil a été victime d'une petite hémorragie la semaine dernière qui me cause quelques problèmes de vision. En conséquence, je ne peux pas plus lire que taper beaucoup ces temps-ci, d'où cette APAQ assez fortement réduite. Une autre bonne nouvelle: l'anthologie que Guy et moi rassemblons a rencontré un succès encore plus considérable auprès des auteurs que ce que nous ne l'espérions dans nos plus grands moments d'optimisme. Cela confirme, nous semble-t-il, la pertinence de la conception et la réalisation pratique et matérielle du projet, de même que sa véritable nécessité pour la les nouvellistes oeuvrant dans les Littérature de l'Imaginaire en ce moment. Nous remercions, ici comme ailleurs, tous les gens qui nous fait confiance en nous envoyant leurs manuscrits ou en se joignant au collectif assurant le financement et la publication du projet et de l'anthologie, dont certains sont des lecteurs de la présente publication.

Donc, vous allez avoir droit aujourd'hui, selon une méthode bien éprouvée et déjà utilisée par certains d'entre nous auparavant, à la présentation de quelques "restes habilement apprètés et reservis" pour meubler un peu plus ces pages. Il s'agit de certaines parties de l'entrevue réalisée avec Denis Côté et moi, lors d'une émission de radio à CKRL-FM, la bien connue station de Québec,dont vous avez pu lire la quasi intégralité dans un numéro récent de Solaris et qu'il a fallu raccourcir, pour diverses raisons,lors de sa publication en revue. Ce ne sont là que quelques dialogues et réflexions sur le thèse du Temps, et ses affiliés, tels qu'utilisés dans nos littératures.

Je vous souhaite une bonne lecture.


Quelques Réfexions sur le Thème du Temps dans la Science-Fiction

Une discussion avec Denis Côté et René Beaulieu

(Note du Beaulieu contemporain: Pour ne pas ennuyer ceux qui ne voudraient pas vraiment lire ici, cette entrevue, et l'extraire du contexte bien précis de L'APAQ d'origine, et également pour quelques autres petites raisons bien pratiques, on trouvera le texte de cette entrevue ailleurs sur ce blog, à l'adresse électronique suivante:

http://geaibleu.joueb.com/news/41.shtml )


Les signes typographiques suivants (...) indiquent des extraits de l'entrevue qui ont été retirée pour la publication de l'entrevue dans L'APAQ et qui n'ont été pas encore restaurés à partir e mes archives personelles, ce qui devrait être fait d'ici quelques temps... , c'est le cas de la dire! )

Voilà, j'espère qu'avec cette lecture vous vous êtes bien un peu instruits ou encore bien amusés, au moins. C'est tout pour aujourd'hui.

Portez-vous bien et écrivez beaucoup. Avec mes excuses de ne pas vous répondre plus longuement et, surtout, bien individuellement et recevez mes amitiés.